3 points de vigilance avant d’acheter

Vous êtes enfin décidé à acheter ?

Définir son projet,  s’assurer de sa capacité réelle d’emprunt, anticiper les frais annexes, établir son budget, mais aussi axer sa recherche selon ses besoins, de nombreux points de contrôle sont à checker avant de sauter le pas.

 

 

 

Je définis mes besoins

Avant d’enchaîner les visites immobilières, détaillez les caractéristiques de votre logement idéal. Souhaitez-vous acheter un appartement ou une villa ? Préférez-vous vivre en hypercentre ou en banlieue pavillonnaire ? Quelle surface pourrait vous convenir ? Plutôt un logement neuf ou ancien ? Envisagez-vous de faire des travaux de rénovation après l’acquisition du bien ? Peu à peu, votre projet immobilier se dessine. Et vos recherches n’en seront que plus efficaces !

 

Les plus et les moins de mon futur bien

Vous venez de visiter un appartement ou une villa qui ne manque pas d’atouts ? Ne vous fiez pas à votre première impression : le logement est-il bien orienté, correctement isolé ? Y a-t-il des traces d’humidité sur les murs ? Observez aussi le quartier : le bien est-il situé près d’une ligne de transports en commun, d’un beau parc et de bonnes écoles ? Ce bar en bas de l’immeuble risque-t-il d’occasionner des nuisances sonores ? N’hésitez pas à solliciter les habitants pour être sûrs de faire le bon choix.

 

Ficeler mon budget

Évaluez vos réelles capacités d’emprunt est nécessaire avant de se lancer. Pour que votre dossier de prêt immobilier obtienne les faveurs des banques, le montant de votre apport personnel est déterminant. Puisez dans votre épargne et/ou sollicitez un prêt familial pour réunir un bon apport : si 10% du prix du bien peuvent suffire, essayez de réunir idéalement 20% du montant d’acquisition de votre futur logement. Pensez aussi aux frais annexes : frais d’agence et de notaire, impôts locaux et charges de copropriété, frais d’assurance, etc. Autant d’éléments à anticiper pour assurer la réussite de votre projet d’achat.

Investir dans un vignoble : mode d’emploi

Au-delà du plaisir et de la rentabilité, investir dans des vignobles via des groupements fonciers (GFV) permet de bénéficier d’avantages fiscaux appréciables. Une diversification patrimoniale à mener avec modération. On vous explique.

 

 

Investir dans un vignoble via des GFV

Pour investir dans un vignoble, il est conseillé de passer par un véhicule de placement collectif, c’est-à-dire, les groupements fonciers viticoles (les GFV). Ce sont des sociétés civiles qui réunissent un nombre limité d’associés dans l’objectif d’acquérir et de gérer des parcelles de vigne. Selon Le Revenu, les participations pour un ticket d’entrée peuvent aller de 3 000 à 50 000 euros.

 

 

Acheter des grands domaines

Lors de votre investissement, le choix de l’emplacement est essentiel. Il est possible de trouver des groupements fonciers viticoles dans tous les terroirs. Il est déconseillé d’acquérir de petits domaines, dont le prix n’a pas augmenté. En effet, les AOP (Appellations d’Origine Protégées) ont gagné plus de 200% en 23 ans, plus de 400% pour les Saint-Julien, plus de 500% pour les champagnes, plus de 800% pour le Pauillac. En revanche, les vignes hors AOP, comme les appellations “villages”, n’ont progressé que de 10% sur la même période. Niveau rendement? Pour un tel investissement (et une fois les frais déduits), vous pourrez compter sur 2% de rendement pas an. Et si cela semble faible, cet actif va se valoriser avec le temps.

 

Se renseigner sur les avantages fiscaux

Investir dans un vignoble induit de nombreux avantages fiscaux. Notamment pour les contribuables assujettis à l’impôt de solidarité sur la fortune. Les GFV bénéficient d’une exonération à hauteur de 75%, avec un plafond fixé à 101 897 euros.

Concrètement, si vous investissez 100 00 euros aujourd’hui, dans deux ans et demi, vous ne verrez que 25 000 euros entrer dans la base taxable de l’ISF.

De plus, si vous achetez vos parts à crédits, les intérêts sont déductibles des revenus. En cas de plus-value, c’est la fiscalité de la pierre qui s’applique avec un taux de 34,5%, mais aucun impôts ni prélèvements sociaux au bout de 30 ans de détention.

Enfin, si la valeur des parts est inférieure à 15 000 euros, elles sont, là aussi, exonérées de taxation sur les plus-values.

 

Vous voilà renseignés pour envisager d’investir dans la vigne.

Saint Guilhem le désert

En qualifiant de ’désert’ ce territoire, Guilhem faisait allusion à l’absence de l’homme et non de la végétation. Après avoir franchi les gorges de l’Hérault, Il décida de s’établir sur les bords du ’Verdus’, au cœur d’une Nature faite de roches rudes et d’eau pure. Trouvant ici son salut pour se ressourcer spirituellement, il fît de cette combe un haut lieu spirituel, un sanctuaire. Ce site dissimulé dans un massif rocheux imposant a aujourd’hui une renommée mondiale.

Au cours des 12 siècles qui suivirent l’arrivée de Guilhem, les activités humaines se multiplièrent. Avec patience, les habitants du val de Gellone domestiquèrent les flancs du cirque de l’Infernet. Ils ouvrirent des voies pour accéder aux monts de Saint-Guilhem-le-Désert. L’élevage, l’agriculture, l’utilisation du bois firent régresser la forêt et naître la garrigue typique des zones méditerranéennes.

Les ’garrigues’ du pays de Saint-Guilhem-le-Désert, constituées de formations végétales diverses, recèlent une faune et une flore d’une diversité exceptionnelle. Certains de ces joyaux sont rares et fragiles, tels que les Pins de Salzmann.

Aujourd’hui, les richesses patrimoniales du site, tant naturelles que culturelles, attirent chaque année un flot important de visiteurs. Résidents, pèlerins, visiteurs cheminent ensemble dans les paysages de Saint-Guilhem-le-Désert.

Le ’désert’ de Guilhem garde cependant toute sa force spirituelle et reste un lieu de culte.

Pour que chacun puisse encore se ressourcer dans ce ’désert’, imprégnez vous de l’esprit des lieux et préservons ensemble ce patrimoine de l’humanité.

Ci-dessous un lien vers un reportage du site :

http://www.youtube.com/watch?v=HZ7lhi95XR8

Sentier découverte des Gorges d’Héric à Mons la Trivalle

Que vous soyez randonneurs, grimpeurs ou tout simplement amoureux des paysages remarquables…
venez découvrir ce site naturel exceptionnel !

Gorges d Heric

A partir de Mons la Trivalle, se diriger jusqu’au parking des Gorges d’HéricParking payant de mai à mi- septembre. 3€ voiture/1€50 moto/ 5€ camping-car (stationnement autorisé pendant 3 jours). Vous trouvez sur place des tables de pique-nique, WC, point d’eau… Sandwichs et boissons à Héric ainsi qu’au niveau du parking.
La balade jusqu’à Héric se fait à pied, compte 5 kilomètres et 315 m de dénivelé positif.

Comptez environ 1h30 en marchant normalement, 2h en incluant les pauses nécessaires aux observations.  Le retour s’effectue par le même chemin (environ 3h l’aller-retour). Une promenade familiale, accessible avec les poussettes.

Grâce à un sentier d’interprétation, vous découvrez la richesse et la diversité de la faune et la flore. Des panneaux vous informent, vous questionnent… Retrouvez les réponses dans le « livret des Gorges d’Héric » ainsi que des informations complémentaires. Ce livret est en vente 3€ dans les 3 points d’accueil de l’office de tourisme. Pensez y avant de vous rendre sur le site des Gorges d’Héric !

De nombreuses randonnées sont possibles à partir du site dont le sentier des Gardes après la passerelle des soupirs, il vous permet de rejoindre la table d’orientation du Caroux en 2h (800m D+). Nous vous conseillons de partir avec une carte détaillée.

Quelques conseils avant de partir…
–  Prévoyez des chaussures confortables.
–  Prenez un petit sac à dos contenant, selon la saison, pull-over, vêtement coupe-vent, chapeau et lunettes de soleil; Dans tous les cas, une bouteille d’eau, quelques en-cas et votre téléphone portable.
–  Pensez à prendre votre appareil photo.
–  Soyez prudent ( des chutes de pierres sont possibles en hiver lors du dégel ou pouvant être provoquées par le passage des mouflons).

Le massif du Caroux compte également plusieurs voies d’escalade dont des sites « école ».
Vous trouvez les descriptions des voies, niveau de difficulté, croquis détaillés dans le topo d’escalade du Caroux du CAF de Béziers.
(En vente 18.50€ dans les points d’accueil de l’Office de tourisme).

Depuis 1993, Les Gorges et Héric ainsi qu’une grande partie du massif du Caroux sont « Site classé« .
Les Gorges d’Héric sont aussi un lieu de baignade (non surveillée).
Baladez-vous au fil des ruisseaux, à la découverte des nombreuses cascades et gouffres. Profitez des beaux jours pour vous rafraichir dans les bassins naturels.
Rejoignez le charmant hameau d’Héric « Typique » de l’architecture locale avec ses petites maisons bâties en pierre, ses toitures couvertes de lauzes, ses charpentes en châtaignier, ses ruelles étroites caladées et ses terrains en terrasses.   Tôt le matin ou au crépuscule, vous pouvez avoir la chance d’observer des mouflons, nombreux dans le Caroux. (le mouflon de Corse a été introduit dans le massif du Caroux en 1956 et s’est très bien acclimaté dans cette zone de moyenne montagne méridionale. La zone compte désormais la plus grande population de mouflons de France).

Une promenade comme si vous y étiez :

http://www.ot-caroux.fr/fr/decouvrir/gorges-d-heric.html

(Source : Office de tourisme Caroux, haut languedoc)

Une initiative très originale.

Le 11 septembre 2010, la cession des maisons par le Département à la Commune de Celles (34700) a ouvert la voie de la réhabilitation. Le projet soutenu par la Commune vise à :

  • Installer des familles susceptibles de générer elles-mêmes une dynamique économique, pas de village-vacances, ni de village-dortoir; un projet de vie = un projet d’activité,
  • Eviter la spéculation foncière,
  • Réhabiliter le village en symbiose avec son environnement (site classé),
  • Réaliser un équilibre entre investissements privés et aide au démarrage pour de jeunes entrepreneurs ne disposant pas d’une surface financière suffisante pour investir,
  • Permettre l’implantation d’entreprises spécialisées dans les savoirs et techniques liés à l’environnement (notamment dans le domaine de la construction).

A cette fin, L’Union Régionale des Scop (URSCOP), dans le cadre du PRIS (Pôle Régional d’Innovation Sociale) recherche un outil juridique adapté qui permette aux futurs investisseurs l’accession à la propriété tout en contrôlant la spéculation foncière, et inscrire dans le temps, la raison économique du projet.

Les études de faisabilité du projet (eau, assainissement, patrimoine et paysage, architecture et urbanisme) ont été prises en charge par le Département de l’Hérault.

L’étude juridique est subventionnée par la Région Languedoc-Roussillon et l’aide technique est assurée par la Communauté de Commune du Lodevois et Larzac.

La Commune est actuellement à la recherche de nouveaux financements pour la phase travaux permettant la mise en place des futurs réseaux :

  • Eau potable : Raccordement au réseau du Syndicat Intercommunal des Eaux du Lodevois.
  • Eau brute : Mise en place d’un réseau secondaire d’eau non potable pour les sanitaires, l’arrosage,…
  • Assainissement : Schéma directeur d’assainissement finalisé au 1er trimestre 2011 (système collectif et écologique)
  • Chauffage : Mise en place d’un réseau de chauffage collectif géothermique ou à bois

En parallèle à nos recherches de subventions publiques et de mécénats, si vous désirez faire une donation en soutien au projet de réhabilitation,vous pouvez envoyer vos dons à : 
Mairie de Celles – Place Henri Goudal – 34700 CELLES
 en nous indiquant vos coordonnées. (Sources commune de Celles)

La ville de Mourèze : Histoire

Attesté des 990, sous le nom de castro Morecino, l’antique village confond la patine de ses murs avec celle des roches qui l’entourent. A partir de l’église, un réseau de ruelles dégringole jusqu’au bas du village. La rue « de la calade » avec son pavement de cailloux rappelle son origine médiévale. Tout en bas, en bordure du ruisseau des Pores, la fontaine de l’ange est encore munie de sa pompe à roue. A coté au début du siècle, une fontaine en marbre rouge du pic du Vissou, dit à « griottes » a été édifié. Elle servait aussi d’abreuvoir et de lavoir et ses « piles » ont rafraîchi des générations de bouteilles !!

L’église paroissiale Sainte Marie citée en 1162 est situé sur une terrasse intermédiaire entre le roc du château et le village. Très remanié, cet édifice, se compose d’un chœur polygonal (14°) précédé d’une courte nef de 2 travées. Le contrefort situé près de l’entrée conserve les vestiges de l’ancien bâtiment probablement plus imposant. Avec 3 églises ou chapelles annexes, Notre dame de Mourèze formait une paroisse importante. Un fragment de table d’autel pré-roman, placé au dessus d’une porte de la fontaine laisse supposer l’existence d’un premier sanctuaire des le 7 ou 8° siècle. Tour de gué naturelle, le roc castel a probablement été aménagé, une premier fois, lors des invasions franques. Aujourd’hui privé d’une grande partie de sa super structure et de la dentelure des tours ….., le rocher à l’air d’un vieux ponton désarmé, enlisé dans le sable. Le village offre des vestiges de quelques belles maisons, peut-être les anciennes demeures des co-seigneurs, car inconfortable le château était surtout un fort tenu par une garnison.

Il y a des milliers d’années, ce désert de pierre était déjà habité. Les populations néolithiques recherchaient les paysages ruiniformes qui leur offraient des refuges pour elles mêmes et pour leur bétail. Plusieurs sites ont été identifiés sur le territoire de la commune: tour du Pigeonnier, les faisses… Un site a été plus particulièrement étudié, celui des Courtinals.

Le parc des Courtinals est un enclos naturel, formé de roche calcaire enserrant une cuvette de forme allongée, dans lequel les hommes néolithique ont trouvé refuge (-2500 av JC à -300 av JC). Par sa situation en plaine, cet habitat se démarque des hauteur connus dans le sud de la France pour la même époque. Il offre un sentier botanique ombragé, une reconstitution in situ d’un habitat gaulois, un belvédère avec vue panoramique sur le cirque et le village.

La Pêche au lac du Salagou

La profondeur moyenne se situe aux alentours de 20 mètres, 4 mètres dans la baie d’Octon, 22 à la presqu’île, et des fonds de 45 mètres maximum au barrage. Il y a quelques hauts fonds, endroits très prisés par les pêcheurs (Voir carte IGN : 2643 ouest 1/25000). La température de l’eau en été approche les 28° et en hiver elle descend rarement en dessous de 5°. Le vent dominant est la tramontane qui souffle dans le sens nord / sud, jamais très longtemps mais parfois violemment.

La pêche

Les espèces de poissons sont toutes très bien représentées : Brochets, Sandres, Black-bass, Perches, Carpes, Tanches, Gardons, Brèmes, Rotengles, Ablettes, Anguilles, Ecrevisses … On compte parmi eux quelques poissons  » trophées  » : brochet de 21 kg, Carpe de 25 kg, Sandre de 14kg …

Bathymétrie Salagou 
Bathymétrie Salagou

Secteurs de pêche

Octon: Grand classique de la pêche à la carpe facile d’accès, présence d’ herbiers, de pente douce. A pêcher en début de saison mars avril et en automne. L’été vue la faible profondeur d’eau et le développement excessif des herbiers, les carpes sortent de cette baie pour aller vers des eaux moins chaudes. Ce secteur rive droite est intéressant pendant les orages, c’est une des arrivées d’eau principale du lac. Les roselières abritent des oiseaux migrateurs : la Rousserolle turdoïde, grande fauvette qui arrive du Gabon; le Grèbe huppé au plumage roux dès le printemps et grisâtre en été… grande diversité biologique à respecter avant tout.

Devant la base nautique quelques bons postes à carpe. Derrière cette base dans le bras qui va au barrage vous avez côté droit des bons postes mais attention c’est assez encombré et accessible uniquement en barque. Sous le village de Liausson, les berges douces offrent beaucoup de postes à carpe. Du printemps à l’automne et surtout l’été, les planches à voile et les camping cars occupent souvent ces berges… en période de vent fort qui arrive de face, les berges battues par ces vents sont souvent bonnes.

Devant et dans la petite baie (côté gauche) vous avez de beaux postes à carpes. Ces fonds sont en pente douce et très peu profonds, donc à éviter en été. Le tour de la presqu’ île de Rouens est idéale aussi en toutes saisons. Le profil des berges est assez accidenté avec des marches et accessibles uniquement en barque. Les berges de la Sure (montage de gauche) accessible en barque sont à pêcher vers le large.

Lac du Salagou

Le Lac du Salagou est l’un des sites les plus fascinants du Sud de la France, il s’étend sur 750 ha. Le pourtour sauvage du Lac du Salagou, découpé de plages infinies, vous invite au repos et la baignade. Les amoureux, les peintres ou les passionnés de lecture, trouveront après quelques courtes minutes de marche un coin de rêve, pour se reposer à l’ombre d’un frêne , d’un peuplier, ou se baigner dans une eau douce dont la température avoisine les 28°en été. Vous pouvez pratiquer  la pêche,  la randonnée, le VTT, les activités nautiques, la balade à cheval.

Le Lac du Salagou est bordé par quelques jolis villages comme Octon et sa place, Celles les pieds dans l’eau, LiaussonSalasc et les Vailhes. Il arrive parfois que le lac prenne la couleur de la ruffe rouge les lendemains d’orage. Ce phénomène dure 1 à 2 jours, puis l’eau redevient transparente.

(Source http://www.gites-lac-salagou.com/gite-lac-du-salagou.html)