Maison de plain-pied : bonne ou mauvaise idée ?

Circulation fluide, entretien facile, sécurité, la maison de plain-pied offre des avantages certains. Pour autant, certains inconvénients sont également à prendre en compte. On fait le tour de la question.

 

 

Des atouts indéniables

Si la maison de plain-pied convient à tous, les personnes plus vulnérables s’y plairont particulièrement : enfants, personnes âgées ou handicapées y jouissent d’un confort optimal et s’y sentent en sécurité. L’absence d’escaliers minimise en effet les risques d’accidents domestiques et une éventuelle circulation en fauteuil roulant y sera grandement facilitée. Deuxième avantage de ce type de construction : l’entretien de votre logement est beaucoup moins contraignant que dans une maison dotée d’étages à gravir, aspirateur sur les bras. Enfin, cette configuration vous permet d’économiser de l’énergie : vous n’aurez désormais besoin de chauffer qu’un seul niveau. Tous ces atouts font de la maison de plain-pied un excellent investissement immobilier : vous n’aurez aucun problème pour la louer ou la revendre !

 

Quelques inconvénients à connaître

De par sa superficie étendue, une maison de plain-pied nécessite un plus grand terrain qu’une maison à étages. Cela aura forcément un retentissement sur le coût global de votre projet de construction. Sans oublier les travaux de terrassement, de fondation et de toiture, plus onéreux que pour une maison à deux niveaux.

 

Construire une maison de plain-pied

Votre choix est fait, et les avantages l’emportent largement sur les inconvénients ? Il faut à présent dessiner la maison de plain-pied de vos rêves. Avec l’aide d’un architecte, concevez un plan assurant une distribution harmonieuse et réfléchie de votre futur logement. Son orientation est cruciale : trouvez la meilleure exposition pour chacune des pièces de votre future maison !

3 points de vigilance avant d’acheter

Vous êtes enfin décidé à acheter ?

Définir son projet,  s’assurer de sa capacité réelle d’emprunt, anticiper les frais annexes, établir son budget, mais aussi axer sa recherche selon ses besoins, de nombreux points de contrôle sont à checker avant de sauter le pas.

 

 

 

Je définis mes besoins

Avant d’enchaîner les visites immobilières, détaillez les caractéristiques de votre logement idéal. Souhaitez-vous acheter un appartement ou une villa ? Préférez-vous vivre en hypercentre ou en banlieue pavillonnaire ? Quelle surface pourrait vous convenir ? Plutôt un logement neuf ou ancien ? Envisagez-vous de faire des travaux de rénovation après l’acquisition du bien ? Peu à peu, votre projet immobilier se dessine. Et vos recherches n’en seront que plus efficaces !

 

Les plus et les moins de mon futur bien

Vous venez de visiter un appartement ou une villa qui ne manque pas d’atouts ? Ne vous fiez pas à votre première impression : le logement est-il bien orienté, correctement isolé ? Y a-t-il des traces d’humidité sur les murs ? Observez aussi le quartier : le bien est-il situé près d’une ligne de transports en commun, d’un beau parc et de bonnes écoles ? Ce bar en bas de l’immeuble risque-t-il d’occasionner des nuisances sonores ? N’hésitez pas à solliciter les habitants pour être sûrs de faire le bon choix.

 

Ficeler mon budget

Évaluez vos réelles capacités d’emprunt est nécessaire avant de se lancer. Pour que votre dossier de prêt immobilier obtienne les faveurs des banques, le montant de votre apport personnel est déterminant. Puisez dans votre épargne et/ou sollicitez un prêt familial pour réunir un bon apport : si 10% du prix du bien peuvent suffire, essayez de réunir idéalement 20% du montant d’acquisition de votre futur logement. Pensez aussi aux frais annexes : frais d’agence et de notaire, impôts locaux et charges de copropriété, frais d’assurance, etc. Autant d’éléments à anticiper pour assurer la réussite de votre projet d’achat.

Comment bien choisir son bois de chauffage ?

Essences, dimensions, taux d’humidité, le sujet du bois de chauffage est plus que jamais d’actualité. Passons en revue les critères d’un combustible de qualité, pour se chauffer sereinement cet hiver.

 

 

Un bois de qualité, c’est quoi ?

Un bon bois de chauffage protège votre santé et ne détériore pas votre installation. Les experts recommandent l’utilisation de bois d’arbres feuillus dits “durs” : chêne, châtaignier, hêtre, orme, charme. Des essences qui dégagent une chaleur importante et se consument lentement. L’idéal pour se chauffer cet hiver ! Autre avantage de ces bois : leurs émissions polluantes sont très limitées.

Les bois résineux en revanche sont à éviter pour chauffer votre maison : en plus de charger votre air intérieur en monoxyde de carbone, les bûches de sapin ou de pin peuvent encrasser le conduit de votre cheminée ou de votre poêle à bois. En cas de doute, optez pour des bûches ou des briquettes certifiées NF, comme le recommande l’agence de l’environnement et de la maîtrise d’énergie (ADEME).

 

 

Bien stocker son bois de chauffage 

Vos bûches et granulés craignent fortement l’humidité : disposez-les dans un endroit bien aéré, si possible au soleil. Si vous avez un abri de jardin, c’est encore mieux pour les protéger de la pluie ! Vous pouvez aussi investir dans un abri à bûches.

Astuce : ne posez pas votre bois de chauffage à même le sol (il absorberait l’humidité) mais sur un support en bois, des palettes de récup’ par exemple !

 

Attention aux bois de récupération !

Si les caisses et autres palettes en bois constituent de formidables matériaux, ils sont à proscrire pour se chauffer. Et pour cause : souvent traité, ce type de bois dégage des émanations toxiques pour l’homme, même en faibles quantités. De manière générale, les professionnels recommandent d’éviter de brûler des bois contenant de la peinture, de la laque ou tout autre produit chimique.

Zoom sur le complément de loyer

Certaines situations peuvent justifier lapplication dun complément de loyer. Un expert passe ces critères en revue.

 

 

Complément de loyer : dans quels cas ?

D’après le décret du 10 juin 2015, le bailleur peut exiger le versement d’une somme complémentaire si certaines caractéristiques du logement n’ont pas été prises en compte pour fixer le loyer. Parmi les éléments pouvant justifier un complément de loyer, on peut citer une belle terrasse ou un grand balcon, un jardin paysager, une vue exceptionnelle ou encore une hauteur sous plafond de plus de 3,3 mètres. Idem pour certains équipements luxueux tels que le sauna ou le home-cinéma.

 

Complément de loyer : pas dans ces cas-là

D’après plusieurs avis rendus par la Commission Départementale de Conciliation (CDC), un petit balcon ne peut justifier l’application d’un complément de loyer. Même chose pour les placards, aussi spacieux soient-ils. Une petite mezzanine “inhabitable” ne peut non plus faire l’objet d’une révision à la hausse du loyer. Cependant, les avis rendus par la CDC ne font pas jurisprudence. Seul le tribunal administratif est en mesure de statuer sur les questions relatives au complément de loyer.

 

Contester un complément de loyer

Les locataires disposent d’un délai de trois mois pour contester l’application d’un complément de loyer qu’ils estiment injustifié. Dans ce cas, la commission départementale de conciliation doit être saisie par le locataire. Si aucun accord n’a été trouvé au terme de cette procédure, une action en justice est nécessaire.

Investir dans un vignoble : mode d’emploi

Au-delà du plaisir et de la rentabilité, investir dans des vignobles via des groupements fonciers (GFV) permet de bénéficier d’avantages fiscaux appréciables. Une diversification patrimoniale à mener avec modération. On vous explique.

 

 

Investir dans un vignoble via des GFV

Pour investir dans un vignoble, il est conseillé de passer par un véhicule de placement collectif, c’est-à-dire, les groupements fonciers viticoles (les GFV). Ce sont des sociétés civiles qui réunissent un nombre limité d’associés dans l’objectif d’acquérir et de gérer des parcelles de vigne. Selon Le Revenu, les participations pour un ticket d’entrée peuvent aller de 3 000 à 50 000 euros.

 

 

Acheter des grands domaines

Lors de votre investissement, le choix de l’emplacement est essentiel. Il est possible de trouver des groupements fonciers viticoles dans tous les terroirs. Il est déconseillé d’acquérir de petits domaines, dont le prix n’a pas augmenté. En effet, les AOP (Appellations d’Origine Protégées) ont gagné plus de 200% en 23 ans, plus de 400% pour les Saint-Julien, plus de 500% pour les champagnes, plus de 800% pour le Pauillac. En revanche, les vignes hors AOP, comme les appellations “villages”, n’ont progressé que de 10% sur la même période. Niveau rendement? Pour un tel investissement (et une fois les frais déduits), vous pourrez compter sur 2% de rendement pas an. Et si cela semble faible, cet actif va se valoriser avec le temps.

 

Se renseigner sur les avantages fiscaux

Investir dans un vignoble induit de nombreux avantages fiscaux. Notamment pour les contribuables assujettis à l’impôt de solidarité sur la fortune. Les GFV bénéficient d’une exonération à hauteur de 75%, avec un plafond fixé à 101 897 euros.

Concrètement, si vous investissez 100 00 euros aujourd’hui, dans deux ans et demi, vous ne verrez que 25 000 euros entrer dans la base taxable de l’ISF.

De plus, si vous achetez vos parts à crédits, les intérêts sont déductibles des revenus. En cas de plus-value, c’est la fiscalité de la pierre qui s’applique avec un taux de 34,5%, mais aucun impôts ni prélèvements sociaux au bout de 30 ans de détention.

Enfin, si la valeur des parts est inférieure à 15 000 euros, elles sont, là aussi, exonérées de taxation sur les plus-values.

 

Vous voilà renseignés pour envisager d’investir dans la vigne.

Propriétaires : Comment déterminer les charges locatives ?

Une fois par an, il est dusage de communiquer à votre locataire un décompte des charges. Comment les déterminer et les calculer ? On fait le point sur la question.

 

Quest-ce quune charge locative ?

Avant de mettre un appartement en location, il est important de déterminer le montant des charges locatives. Il s’agit de l’ensemble des dépenses payées par le propriétaire et imputables au locataire.

 

Le calcul des charges locatives

Vous pouvez consulter la liste des charges locatives dans le décret 87-713 du 26 août 1987 sur le site Legifrance. Voici les principaux postes de dépenses qui sont considérés comme des charges récupérables : ascenseur (électricité, entretien, etc.), eau et chauffage collectif, parties communes intérieures (électricité, coût des produits d’entretien, etc.), espaces extérieurs ou encore taxes et redevances (enlèvement des ordures ménagères). Chaque mois, le locataire va payer des provisions pour charges en plus de son loyer. Celles-ci sont calculées en fonction des charges locatives réelles de l’année précédente. À la fin de l’année, en tant que propriétaire, vous procéderez à une régularisation des charges locatives à travers un décompte. Le locataire pourra alors être remboursé s’il a trop payé ou facturé si les charges locatives ont augmenté par rapport à l’année précédente.

 

La régularisation des charges locatives

La régularisation des charges locatives peut être différente pour une location vide ou meublée. Dans le cas d’une location vide, chaque mois, le locataire paye des provisions sur charge, estimées en fonction des dépenses de l’année précédente. Pour régulariser, vous devrez vérifier les comptes et établir le montant des dépenses réelles. Si celles-ci sont supérieures aux provisions sur charges, le locataire versera un complément. Dans le cas contraire, c’est le bailleur qui remboursera le trop-perçu. Cette régularisation a lieu une fois par an uniquement, à la fin de l’année, lorsque vous recevez le décompte des charges définitives.

Pour une location meublée, soit vous appliquez le même principe qu’en location vide, soit vous optez pour des charges forfaitaires. C’est-à-dire que le locataire s’engage à verser une certaine somme pour les charges, que celle-ci soit supérieure ou inférieure au montant des charges réelles. Aucune régularisation ne peut alors être effectuée.

Quoiqu’il en soit, optez toujours pour un maximum de transparence envers votre locataire qui est en droit de bien comprendre ce qu’il paye mensuellement.

Je veux un atelier d’artiste

Vous aimez peindre ou fabriquer des bijoux, et rêvez d’un petit coin où pourrait s’épanouir votre passion?

 

 

Où installer son atelier?

Une pièce dédiée est bien sûr l’option idéale. Une chambre de bonne (si vous n’avez plus de bonne) ou d’amis, un garage, un sous-sol, une véranda ou même la cabane au fond du jardin (oui, celle de Francis Cabrel) peuvent devenir un havre d’inspiration pour artiste en herbe (ou confirmé). Mais si vous manquez d’espace, il va falloir repenser l’organisation de votre maison. Transformer l’intérieur d’un placard en atelier ou réaménager un coin de la chambre, en pensant à créer une vraie séparation (avec un rideau, un paravent, etc.). Place à l’imagination !

 

Créer son atelier: la lumière avant tout

Si vous souhaitez peindre ou vous adonner à des activités manuelles dans votre atelier d’artiste, la lumière est un élément absolument essentiel. Voilà pourquoi installer votre atelier dans une véranda baignée de lumière naturelle reste la meilleure option. Évidemment, tout le monde n’a pas la chance d’en posséder une. Pour créer votre atelier avec une luminosité adaptée, multipliez les sources, en commençant par installer des rails de spots au plafond, qui permettront d’accumuler les points lumineux. Ensuite, optez pour une lampe d’artiste reproduisant la lumière du jour.

 

Comment créer son atelier au top de l’organisation?

Que vous peigniez, dessiniez, fabriquiez des bijoux ou des sacs à main, le défi reste le même : ranger ses outils, matières et matériaux de façon à offrir un maximum de visibilité et un gain de temps certain. Pour cela, n’hésitez pas à mixer les genres : boîtes, dessertes, vestiaires chinés en brocante, tout est permis ! Au sol comme pour la table de travail, privilégiez les matériaux lavables et faciles à vivre.

Étude: passer par un professionnel de l’immobilier permet de multiplier ses chances de vendre par 3 – Immobilier 2.0

Particuliers versus professionnels, un débat qui enflamme le monde de l’immobilier depuis plusieurs années déjà et auquel nous apportons enfin une conclusion. Conclusion scientifique qui plus est, appuyée par des recherches chiffrées, des entretiens qualitatifs et des questionnaires quantitatifs. En somme, du sérieux ! L’étude se penche sur les raisons qui aujourd’hui poussent les futurs clients à se rendre dans votre agence plutôt que de passer par une plateforme entre particuliers. On y voit notamment les parts de marchés des agences face aux systèmes de mise en vente directe, les bénéfices des agences immobilières perçus par les clients et les performances de chacun de ces systèmes. Dans cet article, nous vous parlerons des résultats de cette étude concernant la part de marché des agences face aux particuliers. 

PRÉSENTATION DE L’ÉTUDE

Un groupe de trois chercheurs composé de Mr Larceneux (chercheur au CNRS), le doctorant Thomas Lefebvre et du maître conférencier Arnaud Simon (tous deux officiant à Paris Dauphine) s’est récemment penché sur le marché immobilier et son évolution depuis quelques années. Après avoir interrogé un total de 6 077 personnes, ils ont diffusé, fin 2014, une étude de 21 pages nommée « La perspective des coûts de transaction perçus ».  Cette étude a été réalisée en collaboration avec MeilleursAgents.

L’étude porte sur la valeur ajoutée perçue de l’agent immobilier, en comparaison à l’utilisation d’une plateforme de PAP. L’idée est donc d’identifier les arguments qui vont faire qu’un client va aller vers une agence plutôt que de mettre lui-même son bien en vente.

Entre tous ces arguments, l’étude nous révèle quelques chiffres intéressants, la part de marché des professionnels par rapport au site de particuliers et surtout des résultats sur l’efficacité de ces deux systèmes.

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LA VRAIE PART DE MARCHÉ DES AGENCES VS LES SYSTÈMES ENTRE PARTICULIERS

La part de marché des sites de particuliers n’est pas vraiment connue… On parle généralement, en France, d’une répartition 50/50.  Les sites de ventes entre particuliers attirent grâce à l’économie potentielle que peut réaliser un propriétaire, mais la question est de savoir si ces derniers sont efficaces. Cette étude nous apprend justement que les agences immobilières ont encore la belle part face aux particuliers.

Au total, c’est pas moins de 180 248 personnes qui ont été interrogées au moyen d’un questionnaire.  6 077 personnes ont répondu et nous indiquent  comment ils ont finalement vendu ou acheter leur bien immobilier. Voici les résultats.

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Étude: sur 3 349 ventes 67% ont abouti via un pro de l’immo VS 21% via un site de particuliers

 

LES PARTS DE MARCHÉ DES AGENCES CHEZ LES CLIENTS SOUHAITANT VENDRE LEUR BIEN

Pour ce qui est de ceux qui souhaitaient vendre leur bien, les agences ont obtenu un résultat de 67% de parts de marché, les particuliers sont à 21% et le reste (12%) étant des projets vendus via des amis, des notaires,etc.

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LES PARTS DE MARCHÉ DES AGENCES CHEZ LES CLIENTS SOUHAITANT ACQUÉRIR UN BIEN

Dans le détail, les agences ont 68% des parts de marché en ce qui concerne les répondants souhaitant acquérir  un bien immobilier alors que les solutions directes de particuliers sont quant à elles à 18% (les 14% restants étant des projets aboutis via des amis, des notaires, etc.).

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L’efficacité des professionnels de l’immobilier, on peut le constater, est sans conteste supérieure à celle des particuliers. Un constat que l’on peut attribuer à l’offre de services autour de la prestation ; vendeurs et acheteurs préférant déléguer les soucis pour se satisfaire uniquement du résultat.

 

PASSER PAR UNE AGENCE = PLUS DE SUCCÈS (TAUX DE CONVERSION)

Un agent immobilier est bien plus efficace que n’importe quel système de mise en relation entre particuliers, l’étude est claire sur ce point. Ce ne sont pas moins de trois fois plus de projets immobiliers (vente et achat) qui aboutissent lorsque le particulier passe par une agence immobilière.

Pour ce qui est des ventes; pour un total de 3 963 projets, 2 252 projets de vente ont été confiés à une agence immobilière pour 1 573 transactions (69,8% de réussite), alors que les plateformes entre particuliers ont permis de conclure 491 ventes sur 1 711 projets, soit seulement 28,7% . Le reste des projets étant soit non aboutis, commencés ou réalisés via un autre moyen (amis, notaires,etc.).

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Conclusion: Les agences immobilières affichent une efficacité pour les vendeurs beaucoup plus forte

Sur un total de 3 689 projets d’achat, 2 073 clients sont passés par des agences immobilières et 1 639 de ces projets ont abouti, contre seulement 1 613 tentatives via un système de particuliers et  uniquement 434  transactions conclues. Les chiffres restants concernent eux les projets non aboutis et ceux aboutis grâce à des canaux moins importants (amis, notaires,etc.).

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Conclusion: Les agences immobilières affichent une efficacité pour les acheteurs beaucoup plus forte

Les chiffres sont parlants: l’efficacité des agences immobilières est entre 3 et 4 fois au-dessus de l’efficacité des particuliers. Les agents sont plus performants et ce, grâce à un professionnalisme, des techniques de vente travaillées et surtout une réelle expertise du marché.

 

En somme, les agents immobiliers sont plus performants, les agences ont le principal des parts du marché immobilier et cette différence est justifiée. Vous êtes des professionnels et les particuliers le savent. C’est pour cette raison qu’ils vous font confiance. Apprenez à communiquer ces résultats auprès de vos clients potentiels, rassurez-les avec un taux de conversion bien meilleur et un professionnalisme au service de leurs intérêts.

Dans un second article, nous traiterons la suite de cette étude sur les motivations des clients à franchir le pas de la porte de votre agence. Vous verrez donc comment vous pourrez réutiliser ces arguments.

Que faire avec des restes de peinture ?

On a tous tendance à sen débarrasser. Mais il existe 1001 façons ingénieuses d’utiliser ses pots de peinture entamés !  Découvrez-les sans tarder.

 

Customisez vos meubles avec des restes de peinture

Pas besoin de racheter des meubles : utilisez vos pots de peinture entamés pour colorer les pieds d’une table en bois clair ou d’une chaise. Les étagères de votre salon peuvent aussi être transfigurées par quelques restes de peinture. Idem pour un mobilier de jardin terni par le temps : utiliser le fond de vos pots pour leur donner une nouvelle jeunesse ! Autre idée fun à réaliser avec votre enfant : customiser son armoire, sa table ou son coffre à jouets (ou les trois !) à l’aide de pochoirs rigolos et de fonds de pots de peintures vives. De quoi égayer sa chambre et développer sa créativité !

 

Des fonds de pots pour rafraichir votre maison

Recyclez de petites quantités de peinture en peignant les contremarches de votre escalier. C’est simple et très original ! Deuxième option pour une maison fraîche et joyeuse : “pimper” les pots de vos plantes ou vos objets déco en plâtre. C’est sûr, le salon ou la terrasse auront une tout autre allure ! Pour illuminer vos murs blancs, réalisez une jolie frise murale au pochoir.

 

Quelques astuces pour conserver vos restes de peinture

Ne laissez pas vos restes de peinture dans leurs contenants initiaux : ils se conserveront mieux dans des récipients plus petits, comme des pots de confiture. Étiquetez-les pour y inscrire la date de péremption et stockez-les à l’ombre, dans un endroit sec et frais. Enfin, si vous ne pensez pas vous en resservir, donnez-les au voisin, à l’école du quartier ou à une association qui organise des ateliers artistiques. Une façon de désencombrer votre garage tout en vous rendant utile !

5 choses à faire avant de fermer votre maison de vacances

L’heure du retour a sonné. Vous avez bien profité de votre maison de vacances ? Il est temps maintenant de la fermer proprement pour mieux la retrouver dans quelques semaines. Pour partir tranquille, suivez notre checklist et vérifiez que vous navez rien oublié !

 

Étape 1 : Nettoyer et ranger

Après un séjour ressourçant dans votre maison de vacances, il est temps de faire un brin de ménage ! Ce serait dommage d’y retourner pour retrouver un désagréable chaos. Rangez tout ce qui traîne avant de passer un bon coup de balai et de serpillière. Recouvrez meubles et canapés de draps pour les protéger de la poussière. Astiquez la cuisine pour éviter la prolifération d’insectes. Sortez les poubelles de déchets alimentaires et de recyclage avant de les nettoyer à fond.

 

Étape 2 : Vider le frigo et les placards

Consommez les denrées périssables (yaourts, fromages, plats faits maison, etc.) avant de quitter les lieux. Ne laissez aucun emballage alimentaire ouvert, cela vous évitera de lutter contre une invasion de charançons et autres petites bêtes à votre retour ! Conservez vos produits secs dans des boîtes hermétiques. Si vous pouvez les emporter avec vous, c’est encore mieux. Nettoyer votre réfrigérateur à fond.

 

Étape 3 : Couper leau et le gaz

Un dégât des eaux est vite arrivé : couper l’eau avant de vous absenter épargnera bien des désagréments. Il est tout aussi prudent (et écologique) de couper le gaz et l’électricité et de débrancher tous les appareils pour avoir l’esprit tranquille.

 

Étape 4 : Fermer les fenêtres et volets

Avant de quitter votre maison de vacances, faites-en un tour complet : fermez toutes les fenêtres et les volets. Vérifiez que ces derniers soient bien attachés pour éviter qu’ils ne se rouvrent à la moindre bourrasque. Verrouiller toutes les portes, cela vous évitera tout risque d’intrusion.

 

Étape 5 : Activer lalarme 

Malgré toutes vos précautions, vous n’êtes hélas pas à l’abri d’un cambriolage. Faites installer un bon système d’alarme, voire une caméra de surveillance, et activez-le en quittant la maison.

Source : http://blog.logic-immo.com/2018/08/tendances/5-choses-a-faire-avant-de-fermer-votre-maison-de-vacances/