Gazon kikuyu

Le gazon kikuyu est un très bon rempart contre la sécheresse, le piétinement et l’arrosage.

Qu’est-ce que le gazon kikuyu ?

Le gazon kikuyu, de son vrai nom Pennisetum clandestinum, est d’origine  subtropicale.

Cette plante herbacée :

  • fait partie de la famille des graminées (plantes herbacées formant des épis),
  • forme un tapis vert, doux et dense,
  • est idéal dans les régions du sud de la France : climat doux l’hiver et chaud l’été.

 

Caractéristiques de cette pelouse

Le gazon kikuyu a certaines caractéristiques qui le distinguent des autres types de gazons :

  • résiste très bien au piétinement, car son feuillage est persistant,
  • il peut être semé sur un sol ordinaire,
  • son exposition doit être ensoleillée,
  • sa hauteur peut varier entre 5 et 10 cm.

Avantages du gazon kikuyu

Cette plante possède de nombreux avantages :

  • il conserve sa couleur verte même au cœur de l’été (en l’arrosant une fois par semaine),
  • il s’adapte très bien aux milieux salins et est donc idéal en bordure de mer,
  • il résiste parfaitement à la chaleur et aux conditions extrêmes de sécheresse,
  • son entretien est très simple : arrosage et tonte limités,
  • il permet de respecter les restrictions d’eau en ce qui concerne l’arrosage des jardins (arrosage limité).

Inconvénients de cette graminée

Le gazon kikuyu a également certains inconvénients :

  • il ne peut pousser que dans les régions où le température est élevée en été,
  • il a une certaine fragilité au froid et ne résiste pas au gel,
  • il se propage rapidement et peut donc devenir envahissant,
  • il ne supporte pas trop les tontes rases ou trop fréquentes,
  • la première année, ce gazon est lent à pousser, ce qui favorise l’apparition de mauvaises herbes,
  • cependant, une fois qu’il a poussé, le gazon kikuyu est une excellente arme contre les mauvaises herbes,
  • il a tendance à jaunir durant l’hiver, mais sa couleur verte revient dès le printemps.

Comment planter son gazon kikuyu ?

Si vous décidez de planter du gazon kikuyu, voici un certain nombre de règles à respecter :

  • prévoir 12 à 15 grammes de graines de gazon kikuyu par mètre carré
  • planter ce gazon de préférence au mois d’avril ou au mois de mai.

Cette plante n’a besoin que de peu d’arrosage. Néanmoins, il est préférable de l’arroser fréquemment les premières semaines pour que la levée soit plus rapide.

Où acheter cette graminée ?

Les semences de gazon kikuyu sont très faciles à trouver. Vous trouvez cette graminée dans :

  • les jardineries,
  • les magasins spécialisés.

Attention ! Certains magasins proposent du faux kikuyu (que vous pourrez trouver sous le nom de Stenotaphrum secundatun). Ce gazon est plus fin et résiste moins bien à la sécheresse et au piétinement.

Prix du gazon kikuyu

Le gazon kikuyu coûte environ 1,50 € le mètre carré.

Comptez entre 70 et 75 € pour 500 g de graines de cette pelouse, ce qui correspond à une surface d’environ 50 m².

(Source http://gazon.comprendrechoisir.com)

Jardin et Méditation

Dans la vie, nous sommes la plupart du temps tournés vers l’extérieur : nos sens, les autres, le travail, peu de choses nous ramène à l’intérieur de nous-mêmes

Pour la plupart d’entre nous nous sommes emportés dominés par nos pensées et nos sentiments. Il s’ensuit que nous avons tendance à croire que nous sommes ces pensées ces émotions.

La méditation est cet état d’Etre, simplement être une pure expérience sans interférence du corps ou du mental. C’est un état naturel dont nous avons oublié l’accès.
Méditer c’est un processus de des-identifications avec la personnalité extérieure, avec l’ego et un processus d’apaisement mental.
Il y a mille et une façons de méditer les techniques sont nombreuses.
La nature n’est-elle pas un lieu de méditation privilégiée.
C’est ce qui m’a saisie lors d’un voyage au Japon et le lien jardin/méditation m’est apparu porteur de richesses intérieures.
Leur jardin est source de légèreté d’émerveillement propice à la contemplation tant leur beauté est saisissante, ils transcendent le temps et l’espace.

Il existe au pays du Soleil Levant plusieurs sortes de structures de jardin que l’on trouve dans des maisons privées, dans les parcs des villes, dans les temples.
Le jardin Zen est le pus connu en occident
Le jardin d’inspiration Shintoïste
Le jardin de thé
Le jardin promenade, flânerie, à découvrir au cours d’une promenade.
Le jardin cour intérieure

Jardin sec ou jardin Zen

Qu’est ce que le Zen : Terme sanscrit utilisé pour désigner la méditation, c’est une discipline qui a pour but de dégager l’esprit des tracas de la vie quotidienne afin d’acquérir un état de plus grande harmonie.
Dans un jardin zen ou jardin sec, les montagnes, la mer qui appartiennent aux paysages Japonais se reflètent dans l’organisation du dessin, ceux-ci sont la représentation symbolique de la nature.
Jardin du temple
Beaucoup de temples zen possèdent un jardin représentant un paysage sec .Dans ces jardins l’eau est absente, mais elle est évoquée par l’utilisation de gravier. D’autres jardins utilisent des rochers similaires pour la décoration. En outre, les bambous, les persistants tel que le pin noir ou des caduques tel que l’érable.

Le jardin zen du temple Ryoan-ji à Kyoto est célèbre pour son jardin sec, crée au XVième siècle il a la particularité de contenir 15 rochers de différentes dimensions disposés sur un gravier blanc ratissée tous les jours .

Long de 23 mètres et large de 9, cet espace de sable, ratissé chaque jour, évoque les vagues de la mer entourant 15 îles, figurées par des rochers entourés d’un peu de mousse. Ces rochers sont répartis en 5 groupes ( 5,2,3,2,3) . D’où que l’on se trouve autour du jardin, il est possible de ne voir au plus que 14 “îles”. L’homme ne peut jamais voir l’ensemble d’une réalité

Les jardins japonais typiques possèdent plusieurs éléments, réels ou symboliques :

de l’eau

une île

un pont menant à l’île

des rochers

une lanterne, traditionnellement de pierre

Le jardin de type Shintoïste

Se caractérise souvent par la présence d’un pont, d’un érable, d’un cerisier, et d’une lanterne de pierre.

Toutes ces représentations ont une fonction symbolique

– Le cerisier qui fleurit au printemps : l’enfance

– L’érable qui flamboie à l’automne, à la maturité de la vie

– Le résineux toujours vert, nous renverrait à l’esprit en éveil

– Le pont qui nous permet de nous diriger vers la lanterne de pierre

Le syncrétisme entre bouddhisme et shintoïsme a inspiré l’art japonais des jardins, la nature est mise en scène pour en sublimer ses rythmes et ses formes, tout en maintenant l’illusion d’un cadre naturel. Chaque élément est choisi pour sa beauté et son harmonieuse intégration à l’ensemble. La magie des lieux est renforcée par le symbolisme. Un rocher représente une montagne, un arbuste une cascade. Le ruisseau de la vie coule sous “le pont de la jeunesse”, nourrit “le pin de la longévité “avant de se jeter dans “la mer de l’éternité” Le Japonais perdu dans la ville entretien une relation intime avec ces jardins. Chaque halte est une occasion de cueillir des fragments d’éternité: la fluorescence des lichens au pieds d’un arbre torturé, les teintes cuivrées des feuilles d’érable sur les pierres, le ballet des carpes goulues sous une passerelle.

Au fil des visites les promeneurs cheminent dans les saisons s’imprègnent des variations végétales, découvrent leur âme.

(Source http://www.psy-corporel-art.fr)

Les hauts-lieux d’énergie et leurs bonnes vibrations

L’univers est un ensemble harmonieux constitué de vibrations et d’énergie. Cette énergie est dense et visible quand elle est cristallisée dans la matière ou invisible et immatérielle quand elle est subtile et ethérique. L’homme vit et évolue en permanence dans ces champs vibratoires d’énergie visible et invisible animé à la fois par l’énergie du Ciel (la force cosmique), et celle de la Terre (la force tellurique).
Un haut-lieu d’énergie ou un haut-lieu vibratoire cosmo-tellurique est un lieu privilégié où l’homme peut capter les très bonnes vibrations émanant à la fois du Cosmos et de la Terre. Les hauts-lieux d’énergie augmentent l’amplitude des corps subtils et de ce fait amplifient l’aura des personnes qui les fréquentent.

Les hauts-lieux d’énergie sont souvent placés sur les anciens lieux privilégiés de la Tradition. En France on les trouve en Bretagne, en Normandie, en Auvergne, au Pays basque, en Catalogne, en pays Cathare, en Bourgogne, dans les Cévennes, dans le Massif du Pilat, en Alsace, en Franche-Comté ou en Lorraine.

Les plus fréquentés sont le Mont-Saint-Michel dans la Manche, les alignements de Carnac et ceux de Kerzerho en Erdeven, l’Hôtié de Viviane (forêt de Brocéliande) dans le Morbihan, l’abbaye de Saint-Martin-du-Canigou dans les Pyrénées Orientales, la ruine du château de Montségur en Ariège, celles du château de Quéribus et de Peyrepertuse dans l’Aude. la Roche de Solutré ou la Basilique de Vezelay en Bourgogne, la chapelle Saint-Michel d’Aiguilhe au Puy-en-Velay (Haute-Loire), le Mont Sainte-Odile, et le Donon dans le Bas-Rhin.

Certains hauts-lieux d’énergie, inconnus du grand public sont surtout fréquentés par les géobiologues qui y emmènent leurs élèves stagiaires afin d’ouvrir leur sensibilité aux énergies. Il en est ainsi des dolmens de Minerve (Hérault, du dolmen de Sem dans l’Ariège, des Combeaux, énormes pierres à cupules taillées dans le granit ayant servis jadis aux sacrifices, à Rongère-Montagne ( Puy de Dôme), de la chapelle Sainte-Madeleine à Massiac (Cantal), du massif du Taennchel au-dessus de Ribeauvillé (Haut-Rhin), de la Pierre d’Appel près d’Eloyes (Vosges), de la Tête des Cuveaux à Eloyes (Vosges), du Camp celtique de la Bure près de Saint-Dié (Vosges), et du Mont-Saint-Michel à Saint-Jean-Saverne (Bas-Rhin).

En radiesthésie, les hauts-lieux d’énergie peuvent se mesurer et peuvent être comparés dans le temps et dans l’espace.

Les hauts lieux d’énergie permettent à « l’homme matière » en élevant sa propre conscience d’atteindre en esprit les plans vibratoires supérieurs d’être transfiguré en « homme lumière » et d’accéder vers un monde et des univers parallèles ou tout est vibration.

Il nous est arrivé d’entrer dans des lieux sacrés où régnait une telle vibration que nous avions comme une sensation de picotements dans tout le corps.

Les vibrations d’un haut lieu d’énergie varient dans le temps et dans l’espace. Ce n’est pas par hasard si les Anciens pratiquaient leurs rituels ou leurs fêtes à des moments bien précis comme au lever et coucher de soleil aux solstices et aux équinoxes.

Les ufologues ont constaté que les objets volants non identifiés suivaient toujours les leys comme si ces lignes reliant les hauts-lieux d’énergie étaient des portes induites spatio-temporelles ouvertes sur des univers parallèles. Les lieux d’apparition où se produisent des évènements et phénomènes insolites correspondent souvent à des hauts-lieux d’énergie ce qui expliquerait bien des visions miraculeuses, mystères et autres phénomènes inexpliqués. L’histoire de la Terre est riche en mythes, contes, légendes récits parlant d’êtres ailés ou volants qui à certaines époques viennent nous visiter, nous conseiller ou nous guider pour faire avancer l’humanité et nous faire évoluer.

Il fût un temps ou les hommes qui levaient les mégalithes et autres monuments gigantesques de la planète communiaient avec la nature, avaient accès aux mondes situés dans d’autres dimensions et univers parallèles et parlaient aux dieux.

(Source Adolphe Landspurg)

Saint Guilhem le désert

En qualifiant de ’désert’ ce territoire, Guilhem faisait allusion à l’absence de l’homme et non de la végétation. Après avoir franchi les gorges de l’Hérault, Il décida de s’établir sur les bords du ’Verdus’, au cœur d’une Nature faite de roches rudes et d’eau pure. Trouvant ici son salut pour se ressourcer spirituellement, il fît de cette combe un haut lieu spirituel, un sanctuaire. Ce site dissimulé dans un massif rocheux imposant a aujourd’hui une renommée mondiale.

Au cours des 12 siècles qui suivirent l’arrivée de Guilhem, les activités humaines se multiplièrent. Avec patience, les habitants du val de Gellone domestiquèrent les flancs du cirque de l’Infernet. Ils ouvrirent des voies pour accéder aux monts de Saint-Guilhem-le-Désert. L’élevage, l’agriculture, l’utilisation du bois firent régresser la forêt et naître la garrigue typique des zones méditerranéennes.

Les ’garrigues’ du pays de Saint-Guilhem-le-Désert, constituées de formations végétales diverses, recèlent une faune et une flore d’une diversité exceptionnelle. Certains de ces joyaux sont rares et fragiles, tels que les Pins de Salzmann.

Aujourd’hui, les richesses patrimoniales du site, tant naturelles que culturelles, attirent chaque année un flot important de visiteurs. Résidents, pèlerins, visiteurs cheminent ensemble dans les paysages de Saint-Guilhem-le-Désert.

Le ’désert’ de Guilhem garde cependant toute sa force spirituelle et reste un lieu de culte.

Pour que chacun puisse encore se ressourcer dans ce ’désert’, imprégnez vous de l’esprit des lieux et préservons ensemble ce patrimoine de l’humanité.

Ci-dessous un lien vers un reportage du site :

http://www.youtube.com/watch?v=HZ7lhi95XR8

Sentier découverte des Gorges d’Héric à Mons la Trivalle

Que vous soyez randonneurs, grimpeurs ou tout simplement amoureux des paysages remarquables…
venez découvrir ce site naturel exceptionnel !

Gorges d Heric

A partir de Mons la Trivalle, se diriger jusqu’au parking des Gorges d’HéricParking payant de mai à mi- septembre. 3€ voiture/1€50 moto/ 5€ camping-car (stationnement autorisé pendant 3 jours). Vous trouvez sur place des tables de pique-nique, WC, point d’eau… Sandwichs et boissons à Héric ainsi qu’au niveau du parking.
La balade jusqu’à Héric se fait à pied, compte 5 kilomètres et 315 m de dénivelé positif.

Comptez environ 1h30 en marchant normalement, 2h en incluant les pauses nécessaires aux observations.  Le retour s’effectue par le même chemin (environ 3h l’aller-retour). Une promenade familiale, accessible avec les poussettes.

Grâce à un sentier d’interprétation, vous découvrez la richesse et la diversité de la faune et la flore. Des panneaux vous informent, vous questionnent… Retrouvez les réponses dans le « livret des Gorges d’Héric » ainsi que des informations complémentaires. Ce livret est en vente 3€ dans les 3 points d’accueil de l’office de tourisme. Pensez y avant de vous rendre sur le site des Gorges d’Héric !

De nombreuses randonnées sont possibles à partir du site dont le sentier des Gardes après la passerelle des soupirs, il vous permet de rejoindre la table d’orientation du Caroux en 2h (800m D+). Nous vous conseillons de partir avec une carte détaillée.

Quelques conseils avant de partir…
–  Prévoyez des chaussures confortables.
–  Prenez un petit sac à dos contenant, selon la saison, pull-over, vêtement coupe-vent, chapeau et lunettes de soleil; Dans tous les cas, une bouteille d’eau, quelques en-cas et votre téléphone portable.
–  Pensez à prendre votre appareil photo.
–  Soyez prudent ( des chutes de pierres sont possibles en hiver lors du dégel ou pouvant être provoquées par le passage des mouflons).

Le massif du Caroux compte également plusieurs voies d’escalade dont des sites « école ».
Vous trouvez les descriptions des voies, niveau de difficulté, croquis détaillés dans le topo d’escalade du Caroux du CAF de Béziers.
(En vente 18.50€ dans les points d’accueil de l’Office de tourisme).

Depuis 1993, Les Gorges et Héric ainsi qu’une grande partie du massif du Caroux sont « Site classé« .
Les Gorges d’Héric sont aussi un lieu de baignade (non surveillée).
Baladez-vous au fil des ruisseaux, à la découverte des nombreuses cascades et gouffres. Profitez des beaux jours pour vous rafraichir dans les bassins naturels.
Rejoignez le charmant hameau d’Héric « Typique » de l’architecture locale avec ses petites maisons bâties en pierre, ses toitures couvertes de lauzes, ses charpentes en châtaignier, ses ruelles étroites caladées et ses terrains en terrasses.   Tôt le matin ou au crépuscule, vous pouvez avoir la chance d’observer des mouflons, nombreux dans le Caroux. (le mouflon de Corse a été introduit dans le massif du Caroux en 1956 et s’est très bien acclimaté dans cette zone de moyenne montagne méridionale. La zone compte désormais la plus grande population de mouflons de France).

Une promenade comme si vous y étiez :

http://www.ot-caroux.fr/fr/decouvrir/gorges-d-heric.html

(Source : Office de tourisme Caroux, haut languedoc)

Faire sa maison pour 500$

En terme d’inspiration, je crois avoir fait la découverte d’un couple qui dépasse tout ce que je pouvais imaginer !
Deux amoureux, une envie d’habitat inondé de lumière naturelle, de la recherche, de l’aventure, du travail et de l’imagination.
Voilà ce qu’il faut pour concevoir une maison vibrante en plein milieu des montagnes…
Je ne suis pas une novice en matière d’écoconstruction, il n’y pas vraiment besoin d’essayer de me convaincre en quoi que ce soit !
Je connaissais déjà les Earthships, les tiny-houses, les cob houses…. Mais là je trouve cela vraiment vraiment incroyable.
Cette maison est un petit paradis pour tous les tourtereaux, rêveurs, artistes, utopiques…. de ce monde !
Moi personnellement je n’aurais vraiment pas besoin de plus…
Ce n’est pas un palace, ce n’est pas le luxe mais c’est tout sauf un taudis ou une cabane !
C’est unique, c’est beau, ça ne coûte rien, c’est stylé, vibrant, brillant, inspirant, c’est juste incroyable…
Une petite maison avec un mur de fenêtres de près de 5 mètres de haut qui permet une vison à 180 degrés sur les collines pour se laisser aller au jeu de la contemplation et de la création !
Je n’en reviens pas qu’ils aient réussi à faire une telle maison pour si peu d’argent.
J’imagine qu’ils ont du y passer un temps monstre mais leur foi et leurs envies devaient dépasser toutes les plus grandes montagnes du monde…
Malheureusement cette jolie maison n’est pas vivable tout le long de l’année mais 500 $ pour des vacances d’été et plus, ce n’est pas cher payé !
Encore une fois c’est un exemple à suivre en matière de possibilité !
Quand on veut, on peut…
Il faut croire en nos rêves, en nos désirs et espoirs… Il n’y a rien de plus beau !
Ne vous laissez jamais freiner par quoi que ce soit ou qui que ce soit !
Croyez en vous, en vos projets et en la vie, travaillez fort et faites tout ce que vous entreprenez avec le cœur et vous obtiendrez de résultats surprenants et exemplaires.
Je vous laisse avec cette petite vidéo qui va certainement vous faire rêver comme j’ai rêvé!
En passant, voici une belle phrase de Marc Levy!
Faites de beaux rêves.

« Rien n’est impossible, seules les limites de nos esprits définissent certaines choses comme inconcevables. Il faut souvent résoudre plusieurs équations pour admettre un nouveau raisonnement. C’est une question de temps et de limites de nos cerveaux. Greffer un coeur, faire voler un avion de trois cent cinquante tonnes, marcher sur la Lune a dû demander beaucoup de travail, mais surtout de l’imagination. Alors quand nos savants si savants déclarent impossible de greffer un cerveau, de voyager à la vitesse de la lumière, de cloner un être humain, je me dis que finalement ils n’ont rien appris de leurs propres limites, celles d’envisager que tout est possible et que c’est une question de temps, le temps de comprendre comment c’est possible. »
Source « echovivant »

Une initiative très originale.

Le 11 septembre 2010, la cession des maisons par le Département à la Commune de Celles (34700) a ouvert la voie de la réhabilitation. Le projet soutenu par la Commune vise à :

  • Installer des familles susceptibles de générer elles-mêmes une dynamique économique, pas de village-vacances, ni de village-dortoir; un projet de vie = un projet d’activité,
  • Eviter la spéculation foncière,
  • Réhabiliter le village en symbiose avec son environnement (site classé),
  • Réaliser un équilibre entre investissements privés et aide au démarrage pour de jeunes entrepreneurs ne disposant pas d’une surface financière suffisante pour investir,
  • Permettre l’implantation d’entreprises spécialisées dans les savoirs et techniques liés à l’environnement (notamment dans le domaine de la construction).

A cette fin, L’Union Régionale des Scop (URSCOP), dans le cadre du PRIS (Pôle Régional d’Innovation Sociale) recherche un outil juridique adapté qui permette aux futurs investisseurs l’accession à la propriété tout en contrôlant la spéculation foncière, et inscrire dans le temps, la raison économique du projet.

Les études de faisabilité du projet (eau, assainissement, patrimoine et paysage, architecture et urbanisme) ont été prises en charge par le Département de l’Hérault.

L’étude juridique est subventionnée par la Région Languedoc-Roussillon et l’aide technique est assurée par la Communauté de Commune du Lodevois et Larzac.

La Commune est actuellement à la recherche de nouveaux financements pour la phase travaux permettant la mise en place des futurs réseaux :

  • Eau potable : Raccordement au réseau du Syndicat Intercommunal des Eaux du Lodevois.
  • Eau brute : Mise en place d’un réseau secondaire d’eau non potable pour les sanitaires, l’arrosage,…
  • Assainissement : Schéma directeur d’assainissement finalisé au 1er trimestre 2011 (système collectif et écologique)
  • Chauffage : Mise en place d’un réseau de chauffage collectif géothermique ou à bois

En parallèle à nos recherches de subventions publiques et de mécénats, si vous désirez faire une donation en soutien au projet de réhabilitation,vous pouvez envoyer vos dons à : 
Mairie de Celles – Place Henri Goudal – 34700 CELLES
 en nous indiquant vos coordonnées. (Sources commune de Celles)

La ville de Mourèze : Histoire

Attesté des 990, sous le nom de castro Morecino, l’antique village confond la patine de ses murs avec celle des roches qui l’entourent. A partir de l’église, un réseau de ruelles dégringole jusqu’au bas du village. La rue « de la calade » avec son pavement de cailloux rappelle son origine médiévale. Tout en bas, en bordure du ruisseau des Pores, la fontaine de l’ange est encore munie de sa pompe à roue. A coté au début du siècle, une fontaine en marbre rouge du pic du Vissou, dit à « griottes » a été édifié. Elle servait aussi d’abreuvoir et de lavoir et ses « piles » ont rafraîchi des générations de bouteilles !!

L’église paroissiale Sainte Marie citée en 1162 est situé sur une terrasse intermédiaire entre le roc du château et le village. Très remanié, cet édifice, se compose d’un chœur polygonal (14°) précédé d’une courte nef de 2 travées. Le contrefort situé près de l’entrée conserve les vestiges de l’ancien bâtiment probablement plus imposant. Avec 3 églises ou chapelles annexes, Notre dame de Mourèze formait une paroisse importante. Un fragment de table d’autel pré-roman, placé au dessus d’une porte de la fontaine laisse supposer l’existence d’un premier sanctuaire des le 7 ou 8° siècle. Tour de gué naturelle, le roc castel a probablement été aménagé, une premier fois, lors des invasions franques. Aujourd’hui privé d’une grande partie de sa super structure et de la dentelure des tours ….., le rocher à l’air d’un vieux ponton désarmé, enlisé dans le sable. Le village offre des vestiges de quelques belles maisons, peut-être les anciennes demeures des co-seigneurs, car inconfortable le château était surtout un fort tenu par une garnison.

Il y a des milliers d’années, ce désert de pierre était déjà habité. Les populations néolithiques recherchaient les paysages ruiniformes qui leur offraient des refuges pour elles mêmes et pour leur bétail. Plusieurs sites ont été identifiés sur le territoire de la commune: tour du Pigeonnier, les faisses… Un site a été plus particulièrement étudié, celui des Courtinals.

Le parc des Courtinals est un enclos naturel, formé de roche calcaire enserrant une cuvette de forme allongée, dans lequel les hommes néolithique ont trouvé refuge (-2500 av JC à -300 av JC). Par sa situation en plaine, cet habitat se démarque des hauteur connus dans le sud de la France pour la même époque. Il offre un sentier botanique ombragé, une reconstitution in situ d’un habitat gaulois, un belvédère avec vue panoramique sur le cirque et le village.

La Pêche au lac du Salagou

La profondeur moyenne se situe aux alentours de 20 mètres, 4 mètres dans la baie d’Octon, 22 à la presqu’île, et des fonds de 45 mètres maximum au barrage. Il y a quelques hauts fonds, endroits très prisés par les pêcheurs (Voir carte IGN : 2643 ouest 1/25000). La température de l’eau en été approche les 28° et en hiver elle descend rarement en dessous de 5°. Le vent dominant est la tramontane qui souffle dans le sens nord / sud, jamais très longtemps mais parfois violemment.

La pêche

Les espèces de poissons sont toutes très bien représentées : Brochets, Sandres, Black-bass, Perches, Carpes, Tanches, Gardons, Brèmes, Rotengles, Ablettes, Anguilles, Ecrevisses … On compte parmi eux quelques poissons  » trophées  » : brochet de 21 kg, Carpe de 25 kg, Sandre de 14kg …

Bathymétrie Salagou 
Bathymétrie Salagou

Secteurs de pêche

Octon: Grand classique de la pêche à la carpe facile d’accès, présence d’ herbiers, de pente douce. A pêcher en début de saison mars avril et en automne. L’été vue la faible profondeur d’eau et le développement excessif des herbiers, les carpes sortent de cette baie pour aller vers des eaux moins chaudes. Ce secteur rive droite est intéressant pendant les orages, c’est une des arrivées d’eau principale du lac. Les roselières abritent des oiseaux migrateurs : la Rousserolle turdoïde, grande fauvette qui arrive du Gabon; le Grèbe huppé au plumage roux dès le printemps et grisâtre en été… grande diversité biologique à respecter avant tout.

Devant la base nautique quelques bons postes à carpe. Derrière cette base dans le bras qui va au barrage vous avez côté droit des bons postes mais attention c’est assez encombré et accessible uniquement en barque. Sous le village de Liausson, les berges douces offrent beaucoup de postes à carpe. Du printemps à l’automne et surtout l’été, les planches à voile et les camping cars occupent souvent ces berges… en période de vent fort qui arrive de face, les berges battues par ces vents sont souvent bonnes.

Devant et dans la petite baie (côté gauche) vous avez de beaux postes à carpes. Ces fonds sont en pente douce et très peu profonds, donc à éviter en été. Le tour de la presqu’ île de Rouens est idéale aussi en toutes saisons. Le profil des berges est assez accidenté avec des marches et accessibles uniquement en barque. Les berges de la Sure (montage de gauche) accessible en barque sont à pêcher vers le large.

Lac du Salagou

Le Lac du Salagou est l’un des sites les plus fascinants du Sud de la France, il s’étend sur 750 ha. Le pourtour sauvage du Lac du Salagou, découpé de plages infinies, vous invite au repos et la baignade. Les amoureux, les peintres ou les passionnés de lecture, trouveront après quelques courtes minutes de marche un coin de rêve, pour se reposer à l’ombre d’un frêne , d’un peuplier, ou se baigner dans une eau douce dont la température avoisine les 28°en été. Vous pouvez pratiquer  la pêche,  la randonnée, le VTT, les activités nautiques, la balade à cheval.

Le Lac du Salagou est bordé par quelques jolis villages comme Octon et sa place, Celles les pieds dans l’eau, LiaussonSalasc et les Vailhes. Il arrive parfois que le lac prenne la couleur de la ruffe rouge les lendemains d’orage. Ce phénomène dure 1 à 2 jours, puis l’eau redevient transparente.

(Source http://www.gites-lac-salagou.com/gite-lac-du-salagou.html)