Bien vivre sa maison

Le bon équilibre d’un lieu de vie dépend d’un grand nombre de facteurs concernant la géobiologie et d’autres secteurs tels que les pollutions, les ondes de forme, la mémoire des murs et donc le psychisme de ses habitants, la décoration et la vitalité du lieu. Ces notions sont complexes et diversifiées. Aborder un lieu de vie afin de le rééquilibrer nécessite un travail sur l’ensemble de ces plans. Il implique une approche globale. Rééquilibrer une maison n’est pas plaquer un savoir géobiologique sur un lieu donné, mais chercher à déceler ce qui crée problème. En d’autres termes, il importe de « l’écouter » avant de lui « parler ». Toutes ces notions à la fois purement géobiolgiques, techniques et subtiles, permettent de rééquilibrer le Feng Shui d’un habitat.

Maison de plain-pied : bonne ou mauvaise idée ?

Circulation fluide, entretien facile, sécurité, la maison de plain-pied offre des avantages certains. Pour autant, certains inconvénients sont également à prendre en compte. On fait le tour de la question.

 

 

Des atouts indéniables

Si la maison de plain-pied convient à tous, les personnes plus vulnérables s’y plairont particulièrement : enfants, personnes âgées ou handicapées y jouissent d’un confort optimal et s’y sentent en sécurité. L’absence d’escaliers minimise en effet les risques d’accidents domestiques et une éventuelle circulation en fauteuil roulant y sera grandement facilitée. Deuxième avantage de ce type de construction : l’entretien de votre logement est beaucoup moins contraignant que dans une maison dotée d’étages à gravir, aspirateur sur les bras. Enfin, cette configuration vous permet d’économiser de l’énergie : vous n’aurez désormais besoin de chauffer qu’un seul niveau. Tous ces atouts font de la maison de plain-pied un excellent investissement immobilier : vous n’aurez aucun problème pour la louer ou la revendre !

 

Quelques inconvénients à connaître

De par sa superficie étendue, une maison de plain-pied nécessite un plus grand terrain qu’une maison à étages. Cela aura forcément un retentissement sur le coût global de votre projet de construction. Sans oublier les travaux de terrassement, de fondation et de toiture, plus onéreux que pour une maison à deux niveaux.

 

Construire une maison de plain-pied

Votre choix est fait, et les avantages l’emportent largement sur les inconvénients ? Il faut à présent dessiner la maison de plain-pied de vos rêves. Avec l’aide d’un architecte, concevez un plan assurant une distribution harmonieuse et réfléchie de votre futur logement. Son orientation est cruciale : trouvez la meilleure exposition pour chacune des pièces de votre future maison !

5 astuces pour mieux vendre votre logement

Mettez toutes les chances de votre côté en préparant avec soin votre projet de vente immobilière. Lisez nos conseils avant de vous lancer !

 

 

Relooker son logement à vendre grâce au home staging

Un logement mis en valeur trouve plus vite preneur! Inspirez-vous des tendances décoratives pour transformer votre bien à peu de frais. Faites-vous prêter quelques meubles modernes et minimalistes pour remplacer une armoire encombrante ou une salle à manger un peu vieillotte. Rafraîchissez vos murs et parez-les de jolis cadres. Créez un coin de verdure dans votre séjour avec des plantes pas chères. N’hésitez pas à faire appel à un professionnel du home staging pour vous aider à valoriser votre logement.

 

 

Mettre en valeur les atouts de votre logement

Listez les atouts de votre bien à vendre: ensoleillement, belle terrasse, tranquillité du quartier, proximité des écoles, du centre-ville historique, de la gare ou des transports en commun etc. De même, soyez honnête quant aux points faibles du logement : ne cherchez pas à camoufler un vice caché qui pourrait entrainer des poursuites ultérieures, voire l’annulation de la vente immobilière.

 

Viser le juste prix pour votre logement à vendre

Faites estimer votre bien immobilier par au moins trois professionnels: cela vous aidera à définir un prix de vente conforme au marché, et donc à vendre plus rapidement votre logement.

 

Préparer un dossier de vente bien ficelé

Dans l’optique de vendre votre logement, rassemblez en amont tous les documents obligatoires: titre de propriété, impôts locaux, diagnostics immobiliers, etc.

 

Faire appel à une agence compétente

Vendre un bien immobilier demande du temps et de la rigueur. Si vous ne pouvez pas vous y consacrer pleinement, n’hésitez pas à confier votre bien à un professionnel aguerri, qui fera visiter le logement et vous évitera nombre de tracasseries administratives.

3 points de vigilance avant d’acheter

Vous êtes enfin décidé à acheter ?

Définir son projet,  s’assurer de sa capacité réelle d’emprunt, anticiper les frais annexes, établir son budget, mais aussi axer sa recherche selon ses besoins, de nombreux points de contrôle sont à checker avant de sauter le pas.

 

 

 

Je définis mes besoins

Avant d’enchaîner les visites immobilières, détaillez les caractéristiques de votre logement idéal. Souhaitez-vous acheter un appartement ou une villa ? Préférez-vous vivre en hypercentre ou en banlieue pavillonnaire ? Quelle surface pourrait vous convenir ? Plutôt un logement neuf ou ancien ? Envisagez-vous de faire des travaux de rénovation après l’acquisition du bien ? Peu à peu, votre projet immobilier se dessine. Et vos recherches n’en seront que plus efficaces !

 

Les plus et les moins de mon futur bien

Vous venez de visiter un appartement ou une villa qui ne manque pas d’atouts ? Ne vous fiez pas à votre première impression : le logement est-il bien orienté, correctement isolé ? Y a-t-il des traces d’humidité sur les murs ? Observez aussi le quartier : le bien est-il situé près d’une ligne de transports en commun, d’un beau parc et de bonnes écoles ? Ce bar en bas de l’immeuble risque-t-il d’occasionner des nuisances sonores ? N’hésitez pas à solliciter les habitants pour être sûrs de faire le bon choix.

 

Ficeler mon budget

Évaluez vos réelles capacités d’emprunt est nécessaire avant de se lancer. Pour que votre dossier de prêt immobilier obtienne les faveurs des banques, le montant de votre apport personnel est déterminant. Puisez dans votre épargne et/ou sollicitez un prêt familial pour réunir un bon apport : si 10% du prix du bien peuvent suffire, essayez de réunir idéalement 20% du montant d’acquisition de votre futur logement. Pensez aussi aux frais annexes : frais d’agence et de notaire, impôts locaux et charges de copropriété, frais d’assurance, etc. Autant d’éléments à anticiper pour assurer la réussite de votre projet d’achat.

Comment bien choisir son bois de chauffage ?

Essences, dimensions, taux d’humidité, le sujet du bois de chauffage est plus que jamais d’actualité. Passons en revue les critères d’un combustible de qualité, pour se chauffer sereinement cet hiver.

 

 

Un bois de qualité, c’est quoi ?

Un bon bois de chauffage protège votre santé et ne détériore pas votre installation. Les experts recommandent l’utilisation de bois d’arbres feuillus dits “durs” : chêne, châtaignier, hêtre, orme, charme. Des essences qui dégagent une chaleur importante et se consument lentement. L’idéal pour se chauffer cet hiver ! Autre avantage de ces bois : leurs émissions polluantes sont très limitées.

Les bois résineux en revanche sont à éviter pour chauffer votre maison : en plus de charger votre air intérieur en monoxyde de carbone, les bûches de sapin ou de pin peuvent encrasser le conduit de votre cheminée ou de votre poêle à bois. En cas de doute, optez pour des bûches ou des briquettes certifiées NF, comme le recommande l’agence de l’environnement et de la maîtrise d’énergie (ADEME).

 

 

Bien stocker son bois de chauffage 

Vos bûches et granulés craignent fortement l’humidité : disposez-les dans un endroit bien aéré, si possible au soleil. Si vous avez un abri de jardin, c’est encore mieux pour les protéger de la pluie ! Vous pouvez aussi investir dans un abri à bûches.

Astuce : ne posez pas votre bois de chauffage à même le sol (il absorberait l’humidité) mais sur un support en bois, des palettes de récup’ par exemple !

 

Attention aux bois de récupération !

Si les caisses et autres palettes en bois constituent de formidables matériaux, ils sont à proscrire pour se chauffer. Et pour cause : souvent traité, ce type de bois dégage des émanations toxiques pour l’homme, même en faibles quantités. De manière générale, les professionnels recommandent d’éviter de brûler des bois contenant de la peinture, de la laque ou tout autre produit chimique.

Zoom sur le complément de loyer

Certaines situations peuvent justifier lapplication dun complément de loyer. Un expert passe ces critères en revue.

 

 

Complément de loyer : dans quels cas ?

D’après le décret du 10 juin 2015, le bailleur peut exiger le versement d’une somme complémentaire si certaines caractéristiques du logement n’ont pas été prises en compte pour fixer le loyer. Parmi les éléments pouvant justifier un complément de loyer, on peut citer une belle terrasse ou un grand balcon, un jardin paysager, une vue exceptionnelle ou encore une hauteur sous plafond de plus de 3,3 mètres. Idem pour certains équipements luxueux tels que le sauna ou le home-cinéma.

 

Complément de loyer : pas dans ces cas-là

D’après plusieurs avis rendus par la Commission Départementale de Conciliation (CDC), un petit balcon ne peut justifier l’application d’un complément de loyer. Même chose pour les placards, aussi spacieux soient-ils. Une petite mezzanine “inhabitable” ne peut non plus faire l’objet d’une révision à la hausse du loyer. Cependant, les avis rendus par la CDC ne font pas jurisprudence. Seul le tribunal administratif est en mesure de statuer sur les questions relatives au complément de loyer.

 

Contester un complément de loyer

Les locataires disposent d’un délai de trois mois pour contester l’application d’un complément de loyer qu’ils estiment injustifié. Dans ce cas, la commission départementale de conciliation doit être saisie par le locataire. Si aucun accord n’a été trouvé au terme de cette procédure, une action en justice est nécessaire.

Investir dans un vignoble : mode d’emploi

Au-delà du plaisir et de la rentabilité, investir dans des vignobles via des groupements fonciers (GFV) permet de bénéficier d’avantages fiscaux appréciables. Une diversification patrimoniale à mener avec modération. On vous explique.

 

 

Investir dans un vignoble via des GFV

Pour investir dans un vignoble, il est conseillé de passer par un véhicule de placement collectif, c’est-à-dire, les groupements fonciers viticoles (les GFV). Ce sont des sociétés civiles qui réunissent un nombre limité d’associés dans l’objectif d’acquérir et de gérer des parcelles de vigne. Selon Le Revenu, les participations pour un ticket d’entrée peuvent aller de 3 000 à 50 000 euros.

 

 

Acheter des grands domaines

Lors de votre investissement, le choix de l’emplacement est essentiel. Il est possible de trouver des groupements fonciers viticoles dans tous les terroirs. Il est déconseillé d’acquérir de petits domaines, dont le prix n’a pas augmenté. En effet, les AOP (Appellations d’Origine Protégées) ont gagné plus de 200% en 23 ans, plus de 400% pour les Saint-Julien, plus de 500% pour les champagnes, plus de 800% pour le Pauillac. En revanche, les vignes hors AOP, comme les appellations “villages”, n’ont progressé que de 10% sur la même période. Niveau rendement? Pour un tel investissement (et une fois les frais déduits), vous pourrez compter sur 2% de rendement pas an. Et si cela semble faible, cet actif va se valoriser avec le temps.

 

Se renseigner sur les avantages fiscaux

Investir dans un vignoble induit de nombreux avantages fiscaux. Notamment pour les contribuables assujettis à l’impôt de solidarité sur la fortune. Les GFV bénéficient d’une exonération à hauteur de 75%, avec un plafond fixé à 101 897 euros.

Concrètement, si vous investissez 100 00 euros aujourd’hui, dans deux ans et demi, vous ne verrez que 25 000 euros entrer dans la base taxable de l’ISF.

De plus, si vous achetez vos parts à crédits, les intérêts sont déductibles des revenus. En cas de plus-value, c’est la fiscalité de la pierre qui s’applique avec un taux de 34,5%, mais aucun impôts ni prélèvements sociaux au bout de 30 ans de détention.

Enfin, si la valeur des parts est inférieure à 15 000 euros, elles sont, là aussi, exonérées de taxation sur les plus-values.

 

Vous voilà renseignés pour envisager d’investir dans la vigne.

5 idées pour organiser sa buanderie

Bien organisée, la buanderie permet de libérer un maximum d’espace dans la maison. Suivez nos astuces pour optimiser son agencement et faites de la corvée de lessive un jeu d’enfant !

 

Un maximum de rangements

Pour agencer votre buanderie, optez pour une petite étagère pour toujours avoir la lessive à portée de main, une plus grande pour les serviettes de bain, des sacs à linge pour répartir les vêtements propres et sales, de grandes boîtes en plastique ou un meuble à tiroirs pour stocker vos produits ménagers. Dans une buanderie, il n’y a jamais trop de rangements !

 

 

Des murs optimisés

N’hésitez pas à investir les murs de votre buanderie : fixez-y des étendoirs (escamotables si vous manquez d’espace), et une barre pour ranger vos cintres ou suspendre les chemises fraîchement repassées. Grâce à un panneau perforé, vous pourrez même accrocher au mur fer et planche à repasser, balais et balayettes, bref, tout ce qui traîne et encombre l’espace.

 

Superposer l’électroménager

Imparable astuce gain de place: poser la sécheuse au-dessus du lave-linge! Mais pas n’importe comment : grâce à un kit de superposition facile à installer, vos appareils électroménagers ne craindront rien, et vous non plus.

 

Un plan de travail en bonne et due forme

Si vos machines s’ouvrent par devant, pourquoi ne pas les recouvrir d’un confortable plan de travail ? Cela vous permettra de trier ou de plier votre linge, et même de le repasser sur cette vaste surface décidément bien utile.

 

Un point d’eau essentiel

Dans les buanderies spacieuses, un bac à laver n’est jamais de trop: vous pourrez y laver votre linge fragile, détacher des vêtements ou les faire tremper avant de les mettre dans la machine. Pratique !

Une chambre comme à l’hôtel !

Et si l’on s’inspirait de la déco des plus beaux hôtels pour aménager une chambre aussi branchée que cocooning ? Suivez nos 5 conseils pour une chambre 5 étoiles.

 

Accumulez les oreillers

Pour un maximum d’effet, jouez sur l’accumulation de coussins et d’oreillers. Mixez les formats carrés et rectangulaires ainsi que les degrés de fermeté, en installant les plus fermes (et les plus grands) au plus près de la tête de lit, les plus souples (et petits) vers vous. À noter que pour un équilibre réussi, cette accumulation doit se faire sur un lit de 160 cm de large minimum.

 

 

Personnalisez votre tête de lit

Pour sublimer le lit dans votre chambre, pensez à personnaliser votre tête de lit. Elle habillera l’espace en apportant de chaleur et du caractère à votre pièce. Et là, le choix est large ! Esprit boudoir élégant avec un modèle en tissu capitonné, ambiance ethnique modernisée avec une version en bois stylisé, ou look industriel avec  un modèle en métal martelé. Variez les plaisirs !

 

 

Parez votre lit de plaids

Les plaids apportent encore plus de matière au lit et le transforme en cocon intime et douillet. Comment les choisir et les agencer ? Oubliez la literie au carré, installez plutôt un modèle à mailles géantes en le posant de façon faussement négligée ou superposez des tissus plus fins (en lin ou cachemire) de la même façon.

 

Osez les sièges de caractère

Voici une astuce imparable pour aménager votre chambre de façon aussi utile qu’esthétique. Près du lit, si possible dans un coin de la pièce, positionnez un fauteuil ou une chaise de caractère. Là encore tout est permis, de la version ultra design à la réédition d’un fauteuil ancien, l’essentiel étant de créer un ensemble harmonieux. Si la surface le permet, n’hésitez pas à installer un petit coin salon avec une table d’appoint et même un canapé ou une banquette mini format.

 

Couvrez le sol de tapis chaleureux

Eh oui, en matière de déco, le sol compte aussi ! Pour recréer l’ambiance d’une chambre d’hôtel ultra chic, vous pouvez au choix opter pour une moquette douillette ou pour plusieurs tapis aux motifs variés. N’hésitez pas à mélanger unis et imprimés. Et préférez des modèles à poils longs ou en fausse fourrure, furieusement tendance !

Propriétaires : Comment déterminer les charges locatives ?

Une fois par an, il est dusage de communiquer à votre locataire un décompte des charges. Comment les déterminer et les calculer ? On fait le point sur la question.

 

Quest-ce quune charge locative ?

Avant de mettre un appartement en location, il est important de déterminer le montant des charges locatives. Il s’agit de l’ensemble des dépenses payées par le propriétaire et imputables au locataire.

 

Le calcul des charges locatives

Vous pouvez consulter la liste des charges locatives dans le décret 87-713 du 26 août 1987 sur le site Legifrance. Voici les principaux postes de dépenses qui sont considérés comme des charges récupérables : ascenseur (électricité, entretien, etc.), eau et chauffage collectif, parties communes intérieures (électricité, coût des produits d’entretien, etc.), espaces extérieurs ou encore taxes et redevances (enlèvement des ordures ménagères). Chaque mois, le locataire va payer des provisions pour charges en plus de son loyer. Celles-ci sont calculées en fonction des charges locatives réelles de l’année précédente. À la fin de l’année, en tant que propriétaire, vous procéderez à une régularisation des charges locatives à travers un décompte. Le locataire pourra alors être remboursé s’il a trop payé ou facturé si les charges locatives ont augmenté par rapport à l’année précédente.

 

La régularisation des charges locatives

La régularisation des charges locatives peut être différente pour une location vide ou meublée. Dans le cas d’une location vide, chaque mois, le locataire paye des provisions sur charge, estimées en fonction des dépenses de l’année précédente. Pour régulariser, vous devrez vérifier les comptes et établir le montant des dépenses réelles. Si celles-ci sont supérieures aux provisions sur charges, le locataire versera un complément. Dans le cas contraire, c’est le bailleur qui remboursera le trop-perçu. Cette régularisation a lieu une fois par an uniquement, à la fin de l’année, lorsque vous recevez le décompte des charges définitives.

Pour une location meublée, soit vous appliquez le même principe qu’en location vide, soit vous optez pour des charges forfaitaires. C’est-à-dire que le locataire s’engage à verser une certaine somme pour les charges, que celle-ci soit supérieure ou inférieure au montant des charges réelles. Aucune régularisation ne peut alors être effectuée.

Quoiqu’il en soit, optez toujours pour un maximum de transparence envers votre locataire qui est en droit de bien comprendre ce qu’il paye mensuellement.